Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans
Dans ce train de banlieue cahotant et aux arrêts multiples, il y avait peu de passagers. Il était près de 20 heures et le gros des banlieusards était passé. J'avais choisi ma place sur une banquette, en raison de la personne qui me faisait face, décalée sur ma droite, appuyée contre la fenêtre. Elle lisait un magasine mais j'avais englobé d'un seul coup d'œil sa silhouette générale : mince et fine, jeune mais pas gamine, cheveux longs.
Je la regardai à la dérobée. Elle était plongée dans sa lecture et ne sortait pas de son journal. Je m'amusais à déterminer de quelle taille était sa poitrine. Elle était peu apparente, mais faisait faire un pli à sa veste et ne devait pas être de ce fait trop menue. Une bien jolie silhouette tous comptes faits. Et brune qui plus est, moi qui adore les brunes.
Une chose m'intriguait. Elle ne semblait pas lire le magazine car je ne voyais pas les pages tourner. Elle semblait lire un livre à l'intérieur du magazine et fermait à chaque fois le journal pour en tourner la page, avant de l'ouvrir à nouveau. Ce manège me fit sourire.
J'en étais là de mes rêveries quant soudain elle posa son journal, attrapa son sac et parti vers l'arrière du wagon, vraisemblablement pour aller aux toilettes. La curiosité fut la plus forte. Je pris le magazine et regardai à l'intérieur. Il y avait bien un autre livre à l'intérieur. C'était un petit livre que l'on vend dans les gares sous une feuille plastique. Le titre était : "esclave et battue". Voici ce que lisait ma voisine de train, un livre érotique où la femme est prise comme jouet par l'homme. Tout un programme !
Sous le coup de cette révélation, je sentis une vive excitation monter en moi. Mon sexe jaillit en une bosse douloureuse. Et d'un seul coup je pensai que j'avais peut-être une chance à saisir. Si cette fille aimait ces situations, je devais pouvoir en faire mon esclave à moi. Comme son corps avait l'air tout à fait bien balancé, je n'aurais qu'à me féliciter de la tenir en ma main. Mais comment procéder ? Je n'ignorais pas qu'entre le rêve et la réalité, le gap est souvent si grand qu'il est impossible à franchir. Je devais avoir cette fille mais il fallait ruser. L'aborder directement me paraissait téméraire et avec peu de chances de succès.
Elle revint à sa place. J'en profitais pour l'examiner plus attentivement. Un joli visage, 30 et quelques années. Tout à fait appétissante ! Elle reprit sa lecture. Je tournais dans ma tête une stratégie. Aucune ne me paraissait avoir assez de chances de succès. Les derniers arrêts s'égrenèrent, puis le train arriva à son terminus. Elle habitait la même ville que moi. J'étais malade de voir ma chance partir sans avoir rien fait. C'est pourquoi, je la laissais descendre puis la suivis dans la nuit.
2. Premier hameçon
Elle habitait un appartement au premier étage dans un petit immeuble haut de trois étages. Sur l'avant l'immeuble donnait dans la rue. Sur l'arrière, une baie vitrée et un balcon donnaient sur un square. La cuisine et la chambre devaient être sur la rue tandis que le séjour sur le square. C'est du moins ce que j'en conclu après être resté devant cet immeuble plus d'une heure à tenter de regarder ce qui pouvait se passer à l'intérieur. D'après les boites aux lettres j'en déduisis son nom : Jasmin L. Je pouvais me tromper mais l'autre boîte du premier concernait un couple marié. Évidemment elle pouvait être mariée et ne pas être la Mlle Jasmin L que j'avais vue sur la boîte mais j'espérais secrètement que non.
J'en fus convaincus plus tard, après de longues observations : personne n'était entré dans son immeuble. Elle vivait seule, c'était pratiquement certain. Je m'en assurais en lui téléphonant sous couvert d'un sondage d'opinion avec lot à la clé. Elle répondit à mes questions sans réticences. J'appris donc, qu'elle était célibataire, qu'elle était secrétaire comptable à Paris où elle se rendait chaque jour, qu'elle lisait beaucoup, ne recevait pas souvent, votait à gauche, et adorait Souchon. C'est avec ces données que je préparais ma stratégie de capture. Le but était de la voir un jour, nue devant moi, obéissante à mes caprices, soumise et prête à tout accepter. Elle en rêvait, j'allais lui faire réaliser ses fantasmes.
Je lançais donc la première étape de mon plan. Je choisis parmi mes livres préférés un ouvrage qui me plaisait particulièrement. C'était un texte de soumission, plutôt soft dans le style mais qui allait assez loin au fil des pages. Une femme était manipulée par son amant. Il lui demandait des attitudes anodines au début, puis de plus en plus humiliantes et difficiles. Elle acceptait ces situations en tombant de plus en plus sous sa coupe. Il la traitait de plus en plus en objet. Elle acceptait tout cela d'abord par amour mais ensuite par plaisir car elle éprouvait une terrible excitation à ces situations scabreuses.
Je photocopiais le premier chapitre du livre, sur du papier vert clair. Je mis le tout dans une enveloppe verte avec un petit mot : "Voici quelques lignes qui vous plairont très certainement. Un ami". Je plaçais l'enveloppe dans sa boite, à demi sortie, juste avant son départ au travail. Elle la prit en passant et l'ouvrit dans le train. J'étais assis quelques sièges plus loin. Je pus constater qu'elle avala la dizaine de feuillets avec avidité. Le poisson avait commencé à mordre.
Les 5 jours suivants se renouvelèrent de la même manière : je remettais dans sa boîte aux lettres une enveloppe verte contenant un chapitre. Elle le lisait dans le train sans savoir d'où lui venait ce cadeau qu'elle semblait cependant apprécier.
- Un tour de moulinet
Après 5 jours de lecture, je l'appelais au téléphone. Il était 21 heures.
-
Jasmin, je suis l'ami des pages vertes
-
Oh ! bonjour …
-
Tu aimes ces lectures ?
-
Comment me connaissez vous ?
Je me réjouis secrètement du vouvoiement qui avait répondu à mon tutoiement d'office.
-
Peu importe, ne pose pas de question et écoute moi !
-
Oui
-
Je peux te faire passer, petit à petit, d'autres lectures superbes dans le style que tu aimes. Tu connais certainement déjà histoire d'O mais j'en ai plusieurs autres au moins aussi excitantes.
-
Oui
-
J'aimerais que ce ne soit pas à sens unique. Je ne suis pas très exigeant, mais j'ai besoin d'une marque d'intérêt de ta part. Aussi, demain, voilà ce que je te demande. Tu passeras la journée sans soutien gorge. C'est simplement pour me faire plaisir. Pour me faire comprendre que tu auras accepté mon marché, tu porteras autour du cou un foulard rouge. Sans soutien gorge et avec un foulard rouge. C'est à cette condition que je poursuivrai mes envois. As-tu compris ?
-
J'ai compris oui, mais qu'est ce qui vous fait dire que je vais accepter cela. J'aime ces lectures mais ne croyez pas que je suis une de leur actrice !
-
Je sais, c'est pourquoi mon marché n'est pas exorbitant.
-
Vous êtres assez gonflé quand même de me demander cela !
-
C'est ma condition pour poursuivre la relation entamée.
-
Mais qui êtes vous ?
-
Bien, à demain donc.
Je raccrochai d'un coup. Les dés étaient lancés. Le déclic devait se faire là. Si elle acceptait elle ignorait que cela la conduirait à accepter de nombreuses autres conditions. Une première petite marche vers la salle des tortures …
J'appréhendais évidemment de la voir le lendemain. Elle portait un tailleur gris, avec une jupe mi cuisse et un pull léger montant. Au cou, un léger foulard de soie bariolé avec une dominante rouge. Elle était donc sans soutien gorge ! Très excitant pour moi comme pour elle certainement. C'était donc une vicieuse qui aimait le jeu. J'allais donc lui en donner ! Ce jour là elle n'eut rien à lire dans le train. Je lui fis porter cependant à son travail, par porteur, une enveloppe verte (je l'avais suivie une fois pour connaître son adresse de travail). Elle put les lire le soir, en revenant. Je n'avais pas pris le même train mais en fus persuadé.
Je l'appelai le soir :
-
Bravo Jasmin, j'ai beaucoup apprécié le foulard rouge
-
Seulement le foulard ?
-
Il voulait dire que ta poitrine était libre. Était-ce vrai ?
-
Oui
-
Tu n'as pas porté de soutien gorge toute la journée ?
-
Non
-
Est-ce que cela t'arrive souvent
-
Non
-
Tu l'as fait pour moi !
-
Oui. Ce n'est pas très cher payer les lectures que je reçois.
-
Effectivement. Toutefois j'aime les femmes obéissantes
-
Les femmes .. Vous en connaissez beaucoup
-
Je préfère la qualité
-
Tiens, moi aussi
-
Ces lectures te plaisent ?
-
Oui
-
Je vais te transmettre un nouveau livre. Il est génial
-
Je l'attends avec impatience
-
En attendant, je veux que tu laisses tomber complètement le port du soutien gorge pendant quelques temps
-
Encore !
-
Tu vas prendre tous tes soutiens gorge, je dis bien tous. Tu les mets dans une boite à chaussures que tu vas scotcher fortement avec du gros scotch. Tu écriras la date d'aujourd'hui sur la boite et tu la ranges au fonds de ton armoire pour ne plus y toucher. Compris ?
-
Vous voilà bien exigeant
-
Tes seins en seront heureux et toi aussi
-
Qu'en savez-vous ?
-
Est-ce faux ?
-
…
-
Réponds !
-
Je ne sais pas
-
J'en doute ! Le feras-tu ?
-
Je ne sais pas
-
Deuxième chose, demain tu porteras ton ensemble gris. Mais je veux un chemisier ajusté sous ta veste. Dans le train, tu ôteras ta veste et la placeras dans le porte bagage en dessus de ta tête. Durant le trajet, tu iras deux fois aux toilettes, sans ta veste, de manière à montrer à tous que tu n'es pas une femme à porter des soutiens gorge.
-
Ah, c'est dans le train que vous me voyez !
-
Oui, souvent. Tu es toujours dans tes lectures
-
Vous me demandez des choses difficiles
-
Si peu
-
Je ne suis pas exhibitionniste
-
Tout le monde peut aller aux toilettes
-
Sans veste ?
-
C'est ce que je te demande. Tu le fais si tu as enterré tous tes soutiens gorges au fonds de ton placard. Ce sera une manière de me le dire.
-
Vous ne doutez de rien !
-
Je pense que tu aimeras obéir à ce petit caprice. Je me trompe ?
-
Je ne vous connais même pas
-
Peu importe, le plaisir est intime
-
Il dépend du partenaire
-
Ne discute donc pas et obéis ! A demain.
C'était la marche suivante. Un effort de plus. Un effort qui ne lui coûtait pas grand chose mais qui nous liait par une relation de plus en plus étroite et que je supposais attirante. J'étais sûr qu'elle le ferait et franchirait ainsi sa deuxième marche.
4. Accrochée
Elle était furieuse après elle. Qu'est ce que c'était que ce type qui la draguait ouvertement comme ça ? Et elle qui s'était prêtée à ce jeu ! Qu'il aille se faire foutre ! Les hommes se croient tout permis. Elle dormit mal cette nuit. Ses rêves étaient peuplés d'hommes, le sexe dur et pointu, qui la dominaient de toute leur hauteur. Elle était à genoux, couchée. On lui marchait dessus, on la fouettait. Elle se réveilla avec des flashs qui mélangeaient lectures et rêves. Elle était couverte de sueur et encore très excitée par son rêve.
Endormie, elle glissa sa main sur son sexe et commença à ouvrir doucement ses lèvres et à caresser délicatement son clitoris encore gonflé. L'excitation remonta. Elle rejeta les draps, écarta les jambes, les tendant au maximum. Elle s'imagina qu'une corde imaginaire lui liait les jambes aux deux extrémités du lit et qu'un homme la regardait ainsi écartelée. Cette sensation était délicieuse : ne pouvoir fermer les cuisses et sentir le plaisir monter sans possibilité de le freiner. Sa main gauche pinçait et griffait la pointe de ses seins. Le plaisir la fit gémir plusieurs fois. Dans son orgasme, elle imaginait que l'homme la regardait, que c'était ses instructions qu'elle suivait ainsi et qui la faisaient se contracter de plaisir.
Quand elle reprit ses esprits, elle plongea sous la douche et c'est là qu'elle sut qu'elle allait jouer ce jeu jusqu'au bout, qu'elle allait obéir à cet inconnu qui entrait ainsi dans sa vie. Pourquoi rejeter une relation qu'elle appelait de ses vœux ? L'homme était peut-être laid, vieux, édenté, goujat … Sûrement pas goujat car il semblait subtil et attentif. Quel que soit ce qu'il était, elle était décidée de le suivre. Quel que soit ce qu'il allait lui demander, elle obéirait. "Je suis une esclave au service d'un homme, je suis une chose, je vais vivre cette expérience !". Elle était déterminée. Elle acceptait.
En s'habillant, elle chercha à satisfaire sa demande. Il voulait un chemisier qui laisse deviner ses seins. Elle en essaya plusieurs. Finalement elle opta pour une chemise d'été, très légère. Les pointes brunes de ses seins se distinguaient à travers le tissu. Elle ne pourrait rester comme cela au bureau, mais, au bureau, elle garderait sa veste. Elle défit les trois premiers boutons, dénudant le haut de sa poitrine. Elle eut alors une vague de peur puis soudain, haussant les épaules, elle enfila sa veste, prit son sac et sortit.
Dans le train, elle perdit son assurance toute nouvelle. Elle se sentit paralysée. Rassemblant tout son courage, elle ôta sa veste, la plia et la rangea dans le porte bagage au-dessus de sa tête. Sa position, en extension, bras tendus faisait ressortir ses seins. Elle se sentait à moitié nue. Elle s'assit après avoir jeté un regard rapide aux passagers. Comment repérer l'homme qui avait jeté son dévolu sur elle ? A deux reprises, comme il l'avait demandé, elle se leva et traversa le wagon jusqu'aux toilettes. Il lui semblait que tout le monde la regardait, la fixait. Surtout au second passage. Le tissu trop léger, l'ouverture trop grande du corsage. Elle se tint droite, cambrée même, et effectua crânement ses deux trajets.
De mon siège, un peu en retrait je l'observais et je jubilais. Elle suivait les instructions à la lettre. Lorsqu'elle passa dans l'allée à côté de moi, le soleil qui se levait jetait ses feux à l'intérieur du wagon. Durant une seconde, ses seins apparurent en contre jour : fermes, pointus, gonflés. Un vrai régal pour la vue ! Ce qui m'excitait le plus c'était de savourer sa capitulation.
5. La fenêtre
Ce soir là je l'appelai.
-
Bonjour Jasmin
-
Bonjour monsieur
-
Tu as été très obéissante aujourd'hui
-
Vous êtes satisfait ?
-
Tout à fait
-
As-tu éliminé tous tes soutiens gorge comme je te l'avais demandé ?
-
Oui, ils sont tous dans une boite, bien fermée.
-
Très bien, tu es donc autorisée à continuer notre jeu.
-
Merci
-
Comment es-tu habillée ?
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Une jupe large et en pull
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Écoute moi bien. Tu vas poser le téléphone sans le raccrocher. Tu allumes toutes les lampes de ton salon, puis, tu te rends devant ta porte fenêtre, tu ouvres les rideaux et tu ouvres grand la porte. Et tu vas te déshabiller lentement. Quand tu seras nue, tu tourneras sur toi-même, en glissant tes mains sur ton corps pour le caresser. Ensuite tu passes sur le balcon ; les mains dans le dos, tu tourneras plusieurs fois. Je veux que tu restes au moins 3 minutes sur le balcon. Tu reviendras ensuite prendre le téléphone. As-tu compris ?
-
Oui monsieur
-
Alors fais le ! tout de suite !
J'étais dans le square, avec mon téléphone portable, équipé de grosses jumelles. Un peu surpris, je la vis obéir tout de suite. Une lampe devait être placée tout près de la porte-fenêtre car je la voyais très bien. Elle se déshabilla. Son corps était très attirant : Elle était souple, fine, bien balancée. Sur son ventre je pouvais apercevoir la tache brune de sa toison pubienne. Elle était large et très foncée. Elle tourna, se caressa. Elle le faisait assez maladroitement, quelque peu rigide et tendue. Puis elle passa sur le balcon. Je ne voyais alors que son ombre à contre jour. Elle fit un signe de la main, comme pour me saluer. Elle resta là un bon petit moment. Le froid devait la faire frissonner. Elle ne bougeait pas. Finalement, elle rentra en toute hâte et referma les rideaux.
-
Vous avez vu, je l'ai fait !
-
Bravo, je suis très fier de toi
-
Cela vous a plu ?
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Tout à fait. Ton corps est très séduisant
-
J'aimerais vous rencontrer
-
C'est moi qui décide ! Allez, ce soir au lit et demain tu auras un nouveau roman.
- Les photos
Quelques jours plus tard, en rentrant chez elle, Jasmin trouva devant sa porte un paquet. Il contenait un appareil photo et une lettre sur papier vert :
"Dans cet appareil il y a une pellicule de 36 poses. Je veux, que grâce au système automatique de prise de vue, tu te prennes toi-même en photo. D'abord un strip-tease en 11 poses. Tu seras alors totalement nue. Je veux ensuite 5 poses différentes dans chacune des attitudes suivantes : debout, assise, à genoux, à quatre pattes de côté et de derrière. Dans tous les cas, tu devras être entière sur la photo, bien regarder l'objectif et garder les genoux écarté s. Ne t'inquiète pas des réglages, tout est automatique et ce genre d'appareil ne peut pas rater une photo ! Demain, en partant au travail, laisse l'appareil et son carton devant ta porte."
Elle eut une hésitation. L'escalade continuait. Ca devenait autre chose que de mettre un chemisier transparent. D'autant que faire des photos laisserait une trace qu'il pourrait éventuellement utiliser contre elle. C'était se donner complètement à cet homme. Elle s'encouragea en ressentant en même temps une sourde excitation monter en elle. "Tu as accepté ce jeu, continue, vas jusqu'au bout". Elle se servit un apéritif pour se donner du courage.
Elle disposa l'appareil sur un meuble et commença les photos. A chaque pose, elle devait venir réamorcer l'appareil, ce qui prit du temps. D'autant qu'elle ne savait trop qu'elles poses prendre. Le strip-tease fut assez facile. Quand elle se trouva nue devant l'appareil, elle chercha à se composer une attitude qui put l'avantager, sans trop exposer son corps. Il avait dit "genoux écartés". Jasmin chercha plutôt à ne pas les serrer. Elle se prit toutefois au jeu et s'imagina mannequin sous les feux d'un photographe de mode. De charme plutôt car en fait de mode … Lorsqu'elle fut à quatre pattes, elle prit des positions provocantes de profil. Elle termina les cinq dernières photos en présentant ses fesses à l'objectif. Sur sa lancée, elle poursuivit sa provocation, en se cambrant et, sur la dernière photo alla jusqu'à écarter largement les genoux. "Je me demande ce que cela va donner. J'espère être restée décente !". Elle remit l'appareil dans son carton et le posa sur le paillasson le lendemain matin en partant au travail.
Passé peu après récupérer mon appareil, je fis développer les photos dans un magasin de tirage rapide. Les photos était très réussies : nettes, à peu près cadrées. Jasmin avait un air assez raide sur les premières photos. Les dernières étaient provocantes, surtout les deux dernières qui étaient carrément pornographiques : gros plan sur un cul écarté, la chatte bien visible et Jasmin qui regardait l'objectif en se tordant le cou et avec un grand sourire. Personne ne pourrait dire que cette pose était exécutée sous la contrainte. Je pris les cinq meilleures photos et les fit tirer en grand format. Le photographe me le rendit avec un sourire mais ne fit pas de commentaire. Je partis les glisser dans la boite aux lettres de Jasmin.
Je l'appelai le soir :
-
Tu as vu les photos ?
-
Oui, je les ai vues, mais ça ne va pas, c'est beaucoup trop osé !
-
Il faut dire ça au photographe
-
Je suis très honteuse. Ne les montrez à personne !
-
Je ferai ce que je veux
-
Non s'il vous plaît, rendez moi les négatifs et les photos. Je ne voulais pas aller si loin.
-
Tu n'as rien à demander. Écoute bien. Je veux que tu affiches ces cinq photos aux murs de ta chambre. Tu les auras ainsi régulièrement sous les yeux et cela te rappelleras que tu es une vraie salope. Tu as compris ?
-
Oui monsieur
-
Bien. Et à compter d'aujourd'hui, tu seras toujours nue dans ton appartement. Déshabille-toi tout de suite.
-
Voilà
-
Très bien. Et vas vite accrocher tes photos.
- Contact furtif
Le lendemain soir, en entrant chez elle, Jasmin se déshabilla. Evoluer nue dans son appartement lui faisait une impression étrange. C'était incongru et excitant en même temps. "Je suis sa chose, je lui obéis". Jasmin était prête à continuer à accepter ses exigences. Le téléphone sonna :
-
Jasmin ?
-
Oui monsieur
-
Tu es nue ?
-
Oui monsieur
-
Tu as affiché les photos ?
-
Oui monsieur
-
Très bien. Nous continuons le jeu. OK ?
-
Je vais essayer
-
Il n'y a rien à essayer, tu vas obéir, c'est tout.
-
Oui monsieur
-
Tu vas enfiler une paire de talons haut et un manteau. Tu descends au sous-sol, dans le parc à vélo. Je t'attends là bas. En entrant dans le parc, tu n'allumes pas la lumière, tu retires ton manteau et le poses sur le premier vélo, puis tu avances jusqu'au milieu de la pièce. Tu verras une lampe torche t'éclairer. Tu te diriges vers la lampe. Un fois tout près, tu te mettras à genoux, genoux écartés et tu te caresseras devant moi. As-tu compris ?
-
Est-ce que je vous verrai ?
-
Ne soit donc pas si pressée. Et donne moi du beau spectacle ! Va tout de suite, je t'attends.
Elle avait passé avec succès toutes les étapes jusqu'à présent. Les photos étaient entre mes mains et elle ne pouvait que s'exécuter. Je fus cependant très heureux lorsque j'entendis son pas dans le couloir et le bruit de la porte qui s'ouvrait. Elle suivait mes consignes.
Le garage était totalement noir quand elle referma la porte. Je lui avais dit de ne pas allumer la lumière. Elle rouvrit la porte laissant entrer un rai de lumière. Elle repéra alors le premier vélo. Elle referma la porte et en deux pas s'en approcha. Elle se tenait debout dans le noir total. Jasmin ouvrit alors don manteau et le retira. Elle le posa à tâtons sur le vélo, puis fit deux pas dans le noir vers le centre du garage.
- Voilà, je suis prête
Dit-elle d'une voix étranglée. Le noir était total. Elle commençait à être inquiète. Soudain une lampe torche de forte puissance la prit dans son pinceau étroit. Son premier mouvement fut de se couvrir les seins et le sexe de ses mains. Elle résista, inspira lentement et fit un premier pas vers la lampe. En avançant dans ce garage, nue, juchée sur ses talons, sous les feux et le regard d'un inconnu, Jasmin se sentit prise d'une forte excitation. Elle sentit son sexe s'inonder d'un coup et un tremblement parcourut son corps tout entier.
- Stop ! A genoux !
Jasmin obéit.
- Écarte tes genoux. Encore. Bras en croix, bien tendus ! Tiens-toi cambrée ! Mieux que ça !
Jasmin s'exécuta. Elle avait du mal à garder la pose. La lumière bougea. Elle m'entendait marcher autour d'elle. Je l'observai ainsi durant un moment, faisant circuler le pinceau lumineux sur son corps.
- Caresse-toi maintenant !
Jasmin descendit la main sur son ventre. Elle effleura son clitoris. Elle restait très contractée. Son majeur descendit et trouva l'ouverture de son sexe. Un frisson la parcourut. Elle constata qu'il était mouillé. Elle le pénétra doucement. Et son envie la saisit de nouveau. Elle ferma les yeux et se laissa porter par son extraordinaire situation et le lent mouvement de ses doigts sur son clitoris en feu. Elle gémissait doucement. La cadence s'accéléra petit à petit. Elle ondulait et son visage commençait à se crisper. Elle sentait le plaisir commencer à enfler en elle.
- Stop ! Ca suffit ! Mains sur tes fesses ! Cambrée, seins en avant !
Je m'approchai alors d'elle et lui plaçai sur la pointe d'un sein une pince. La surprise et la douleur lui arrachèrent un cri.
- Cambrée je t'ai dit !
Jasmin reprit la position. Une seconde pince vint mordre l'autre sein. Jasmin sentit une brûlure irradier sa poitrine. Ses seins étaient en feu. Son visage grimaça. Elle resta toutefois stoïque, se mordant les dents pour supporter la douleur.
- Pas très habituée hein ? Tu verras, tu t'y feras.
Je tournais de nouveau autour d'elle, la regardant supporter sa douleur et essayer de ne pas le montrer. Je fis durer le manège durant de longues minutes.
-
Bien, je vais partir. Tu vas compter lentement jusqu'à 500. Ensuite tu peux te relever. Tu remets ton manteau et tu sors dehors. Tu fais tout le tour du bloc et tu remontes chez toi. Une fois chez toi, tu te déshabilles ; tu vas à ta fenêtre, tu te mets de profil, bien éclairée et c'est seulement là que tu pourras enlever tes pinces. Tu les garderas précieusement car tu en auras encore besoin plus tard. Compris ?
-
Oui monsieur
-
Allez compte …
-
Un, deux, trois, quatre …
-
Lentement
-
Oui monsieur. Un, deux , trois …
Je sortis la laissant à son arithmétique. Cette fille était vraiment à ma merci !
8. Contact
-
Allo Jasmin ? Tu es nue ?
-
Oui monsieur
-
Tu as un paquet sur ton paillasson. Va le chercher. Ce n'est pas la peine de t'habiller pour cela.
-
Oui monsieur.
Jasmin entrebâilla la porte et passa la tête par l'ouverture. Personne. Elle vit le paquet qui n'était pas sur la paillasson mais de l'autre côté du couloir. Elle fit deux pas rapides, nue au milieu du couloir, le prit et rentra précipitamment.
Le paquet contenait quatre bracelets de cuir, avec sangle et boucle permettant de les fixer au poignet, un mousqueton long, un masque de cuir, deux pinces reliées par une chaînette d'acier, 5 poids, de petits rouleaux de corde et une cravaches en cuir. Cette dernière était noire longue et fine. Elle était très impressionnante. Sur le dessus du paquet se trouvait une enveloppe verte. En l'ouvrant, Jasmin trouva des instructions.
- Ca y est, c'est la vraie soumission physique. Il passe à l'acte !
Jasmin n'aurait jamais accepté ces instructions deux semaines auparavant. Mais maintenant, elle avait déjà signé son allégeance. Elle était déjà soumise à cet homme qu'elle n'avait encore jamais vu. Elle sut qu'elle accepterait tout et commença la lecture du papier attentivement.
Il lui avait demandé de s'exécuter immédiatement. Elle ne prit pas de temps à réfléchir et se décida aussitôt.
Jasmin plaça la table basse de son salon au milieu de la pièce. Elle fixa les bracelets de cuir à ses poignets et aux chevilles. Chacun était doté d'un anneau métallique. Bien serrés, ils étaient bien ajustés. Elle étala le contenu du paquet sur le bout de la table basse puis se mit à genoux sur la table, les pieds débordant le plateau. Avec les cordelettes, elle attacha chaque anneau de ses chevilles aux pieds de la table. Puis elle fit de même avec les genoux : attacher le genoux gauche, passer la corde sous la table, la récupérer péniblement puis attacher le genou droit. Elle se trouva ainsi à genoux, cuisses écartées, sans moyen de les refermer, comme cela était écrit sur le papier vert pale des instructions.
Elle prit ensuite les pinces. C'était un modèle avec ressort qui serrait d'autant plus que l'on tirait sur une boucle placée à l'extrémité de la pince. La chaînette était fixée à cette boucle. Elle plaça la première pince sur un téton. Aie, la douleur ! Elle respira fortement trois à quatre fois, puis fit de même avec l'autre pince. Elle se redressa. La chaînette qui reliait les deux pinces faisait une courbe gracieuse sur sa poitrine. Ses deux seins lui faisaient mal ! "Il est fou, comment vais-je supporter cela ?" Après un moment toutefois, l'habitude aidant, elle parvint à poursuivre son installation. Elle étala devant elle les cinq poids et la cravache en frémissant à l'usage qui en serait fait.
Elle prit ensuite le masque. C'était un loup très large, sans ouverture pour les yeux, avec deux courroies parallèles qui se serraient derrière la tête. Elle les serra de son mieux, les boucles s'emmêlant dans ses cheveux lui rendaient la tâche difficile. La douleur de ses seins rendait ses mouvements brusques et peu précis. Quand le masque fut fixé elle se trouva plongée dans le noir. Les bords intérieurs du masque, de mousse épais, s'écrasaient et ne laissaient filtrer aucune lumière.
Il restait à exécuter la dernière partie des instructions. Prenant à tâtons le mousqueton, elle le crocha à la boucle de son poignet gauche. Passant les mains derrière le dos, elle tenta ensuite d'accrocher la boucle de son autre poignet. Ce fut difficile car le mousqueton était petit. Après plusieurs tentatives et en tirant au maximum sur les bracelets un clac sonore lui fit comprendre que l'anneau était dans le mousqueton. Elle essaya alors soudain de rouvrir le mousqueton pour se libérer à nouveau. L'opération fut impossible. Prise d'un moment de panique, elle tira dans tous les sens, se meurtrissant les poignets et les doigts. Rien à faire ! Après plusieurs minutes, elle se rendit compte qu'elle était attachée pour de vrai et que seul son inconnu pourrait la sauver.
Alors, dans le noir, nue, à genoux mains attachées dans le dos, avec cette douleur à l'extrémité de ses seins et ses genoux qui commençaient à lui faire mal, Jasmin commença à attendre …
L'attente dura environ de 10 minutes. Elle parut à Jasmin durer une heure ! Quand elle entendit la porte de son appartement s'ouvrir elle en fut très soulagée. Des angoisses commençaient en effet à la saisir. Qu'aurait-elle fait s'il n'était pas venu ? D'un coup sa situation changea. La peur de ne pas être libérée l'avait quittée, mais se sachant nue et livrée, elle pensa à la cravache. Elle se redressa et tenta de ne plus bouger.
Elle entendit les pas se rapprocher. Il fit plusieurs fois le tour de la table. Il ne disait rien. Les instructions spécifiaient de se tenir très droite, cambrée en faisant sortir ses seins au maximum, le ventre plat. Elle s'y employait de son mieux.
- Que voilà un joli spectacle !
Jasmin ne broncha pas.
- Joli cul, ventre plat, des seins bien dessinés, qui se tiennent, une toison épaisse, des jambes fines. Très bien, joli morceau.
Tandis qu'il la détaillait, Jasmin sentait la cravache qui effleurait chacune des parties du corps qu'il citait. Elle était flattée d'entendre ses compliments. Elle sourit intérieurement en se disant qu'un corps de femme avait toujours un pouvoir sur les hommes. Elle lui plaisait donc et elle pourrait ainsi jouer de son charme pour le contrôler d'une certaine manière. Toute à ses pensées euphoriques, Jasmin avait relâchée sa tenue. Son buste s'était légèrement incliné, ses fesses avait glissé quelques peu en arrière.
-
Clac !
-
Tient toi droite quand tu es devant moi !
La cravache avait fouetté ses fesses sèchement. La douleur et la surprise lui arrachèrent un petit cri. Un second coup de cravache suivit aussitôt.
- Silence, je ne veux pas de gémissements
Les deux coups avaient créé une zone de douleur sur ses fesses qui la brûlait. Jasmin comprit qu'il ne fallait pas tergiverser. Elle se redressa et se figea très droite, immobile.
- Bien, et surtout pas de relâchement.
De nouveau les minutes s'écoulèrent. La position de Jasmin était pénible. Ses seins, ses genoux étaient douloureux. Tout son corps se fatiguait de tenir cette position. Jasmin serra les dents. Soudain elle retint son souffle. Il avait saisit la chaîne de ses seins et tirait dessus progressivement. La douleur de ses seins monta d'un cran. Il tirait de plus en plus fort. Jasmin avait envie de crier. Elle serra les dents et se retint. Puis il la relâcha. Elle sentit alors sa main glisser sur son ventre, entrer écraser ses poils et descendre sur la fente de son sexe. Ses doigts la pénétrèrent en puissance, profondément. Une vague de plaisir l'envahit d'un coup. Elle mouilla fortement.
- Quelle salope tu fais. Il suffit de tirer sur tes seins pour que tu mouilles comme une gargouille ! Tiens lèche ma main pour la nettoyer.
Jasmin aspira les deux doigts qu'il avait fourré dans sa bouche et les suça et les lécha pour les nettoyer de ses liqueurs intimes.
- Voyons voir tes yeux
Il détacha son bandeau. Jasmin le vit alors pour la première fois. Malgré l'excès de lumière qui l'éblouissait, elle le détailla avidement. Oui elle l'avait déjà vu dans le train. Un physique relativement ordinaire, mais il n'était ni repoussant, ni du 4ème age.$$- Bonjour Jasmin
- Bonjour monsieur
Il la regardait en souriant malicieusement. Il la tenait ! Prenant la chaînette, il recommença à tirailler ses seins. Il regardait sur son visage les effets de ce traitement. Les infimes contractions de douleur de son visage, la sueur qui perlait sur son front, renforçaient son plaisir de la savoir en son pouvoir. Il tira à petits coups, en variant les angles et les efforts. Courageuse elle supportait sans rien dire. La fixant dans les yeux, Il se mit à tirer sur ses seins très progressivement. Il la voyait lutter contre les cris qui montaient dans sa bouche. Il augmenta la traction. Soudain elle gémit. Il poursuivit. Les gémissements augmentèrent. Tout son corps était penché en avant, concentré dans l'effort de résistance.
Il arrêta le jeu et retira les pinces. L'extrémité de ses seins était rouge. Il pinça les tétons entre mes doigts. Elle se tortilla aussitôt en gémissant fortement. Après un moment il la lâcha. Prenant ensuite du recul il constata qu'elle ne respectait plus sa position.
- Mais quelle est cette position ?
Elle se redressa aussitôt et se cambra.
-
Combien de coups de cravache pour laver cette faute ?
-
Euh …
Clac, la cravache avait frappé ses fesses
-
Réponds !
-
Trois monsieur
-
Trois seulement ?
-
Euh non, cinq monsieur
-
10 coups, tu auras : 5 coups pour ta première faute et 5 coups pour ne pas avoir trouvé tout de suite le bon tarif. Compris ?
-
Oui monsieur
-
Allez compte !
Les deux premiers coups de cravache tombèrent sur ses fesses. Elle les accepta stoïquement. Les deux suivants cinglèrent l'intérieur de ses cuisse. Le cinquième frappa exactement dans l'entrejambe. Elle cria, fort.
- Si j'entends encore un cri, tu auras 10 coups de plus !
Un nouveau coup de cravache atteignit son sexe ouvert. Elle ne cria pas mais dut attendre deux secondes avant de souffler le mot "six !". Les deux autres coups revinrent sur ses cuisses. Enfin, la cravache vint frapper l'extrémité de chacun de ses seins. Elle n'avait plus crié mais ses gémissements aigus témoignaient de son inconfort.
La douleur la vrillait de partout. Jasmin comprit que sa seule possibilité était d'obéir à cet homme aveuglément. Elle était attachée, nue, livrée à lui. Sa cravache pouvait la fouetter n'importe où. Il pouvait lui créer les douleurs qu'il voulait. Or Jasmin n'avait pas l'habitude de souffrir. En elle, les derniers restes d'indépendance craquèrent. Elle n'eut qu'un seul but : obéir et satisfaire cet homme.
Elle s'appliqua à se tenir droite, comme il la voulait. Il l'examina longuement, tournant autour d'elle, constatant ses efforts et sa volonté de se conformer à ses exigences.
Finalement, il la détacha. Il défit les cordes qui attachaient ses jambes mais ne détacha pas ses mains touchées liées dans son dos. Jasmin put descendre de la table et faire quelques pas. Il la fit marcher de long en large devant lui. Elle avait un corps très bien proportionné, avec une poitrine harmonieuse. Ses seins vibraient à chaque pas. Ses cheveux noirs et bouclés tombaient en cascade sur ses épaules.
- Tu vas me faire une déclaration d'obéissance pour toute la soirée. Réfléchis bien. Je veux une vraie déclaration, longue et précise. Si je ne suis pas satisfait, tu connaîtras de nouveau la cravache.
Jasmin avait le cerveau vide. Elle était affolée par une nouvelle correction par la cravache dont les marques lui brûlaient encore la peau. Elle tomba à genoux devant lui et dit d'une voix hachée :
-
Maître, je serai votre esclave totale durant toute la soirée. Vous pourrez faire de moi ce que vous voudrez. J'obéirai à tous vos ordres quels qu'ils soient. Je suis votre esclave soumise et prête à vous servir.
-
Eh bien voilà ! Allez, tu vas m'écrire tout ça et la soirée pourra commencer !
Jules Sµ
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